8 OCT | 18:00HS

PABLO SANZ

« Tibataje

Affections auditives des îles Canaries

Inauguration de l’installation sonore, qui sera ouverte au public jusqu’au samedi 18 octobre.

Salle Cube: CIC El Almacén

Entrée gratuite

TIBATAJE est une installation sonore immersive multicanal qui explore les écologies sonores de l’archipel des Canaries à partir d’une écoute élargie, incarnée et profonde, attentive à la vitalité des formes de vie et des matérialités plus qu’humaines. Le projet est issu d’un processus de recherche artistique et de travail sur le terrain dans sept des îles, y compris des enregistrements réalisés dans la zone d’exclusion pendant l’éruption du volcan Tajogaite à La Palma.

En utilisant de multiples modes d’écoute et des techniques phonographiques qui traversent l’air, l’eau, le sol et d’autres matérialités sensibles, l’œuvre plonge dans un réseau vibrant de matière et d’énergie, s’intéressant à ce qui se situe aux marges de la perception et de l’attention. C’est ainsi que se déploie un flux sonore dans lequel s’entremêlent les expressions du vent, de l’océan, de la terre, de la végétation, de diverses espèces animales et de l’action humaine.

L’installation présente une composition sonore spatiale, sans images, qui est conçue comme un espace partagé d’écoute intime et prolongée, où chaque personne est invitée à participer activement par son écoute, comprise comme une forme de présence et de co-création.

L’écoute est considérée ici comme une pratique relationnelle, sensorielle et potentiellement transformatrice : une forme d’attention active et située qui intègre le corps, le mental et l’affectif.

Au-delà des approches conventionnelles du « paysage sonore » et des visions idéalisées de la « nature », TIBATAJE considère l’écoute comme un acte créatif, politique et écologique, visant à résister aux modes dominants de relation au monde et à cultiver des manières moins anthropocentriques de sentir, de penser et d’habiter.

TIBATAJE se produit pour la première fois, de manière inédite, au festival de musique visuelle de Lanzarote.

Collaboration à la recherche artistique et au travail de production : Palma E. Christian Martínez.

Nous remercions tout particulièrement le parc national de Timanfaya, le parc national de Teide et le parc national de Garajonay, ainsi que les volcanologues Poly Carracedo et Vicente Soler (IPNA-CSIC), qui ont facilité le travail sur le terrain.

Avec le soutien du Bureau culturel de l’Ambassade d’Espagne à Washington, D.C., qui a rendu possible une partie du travail de terrain sur lequel ce projet est basé.

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Pablo Sanz est un artiste basé à Gran Canaria et à Madrid. Son travail comprend des projets spécifiques, de l’art public, des installations et des concerts audio spatiaux immersifs, ainsi que des compositions présentées dans des expositions, à la radio et dans des publications.

Son travail a été présenté dans des institutions et festivals internationaux tels que le Museo Reina Sofía, Matadero (Madrid), Centro Atlántico de Arte Moderno (Gran Canaria), MuseumsQuartier (Vienne), Pratt Manhattan Gallery (New York), STRP (Eindhoven) et Cafe Oto (Londres), entre autres.

Il a participé à de nombreuses résidences artistiques et a reçu des prix et des soutiens, comme le prix Phonurgia Nova pour strange strangers, une œuvre commandée par la radio tchèque et publiée par le label Vertical Music.

Il est titulaire d’un doctorat en arts sonores du SARC (Centre for Interdisciplinary Research in Sound and Music) de l’université Queen’s de Belfast. Il a donné des séminaires et des ateliers dans plusieurs pays, collabore en tant que chargé de cours au master en composition électroacoustique au CSKG et à l’Universidad Autónoma de Madrid, et organise des programmes publics tels que Ecologies of Listening et Situated Listening à La Casa Encendida.

Audio – https://soundcloud.com/pablosanz

Audio – https://pablosanz.bandcamp.com/

Site web – https://pablosanz.info

IG – https://www.instagram.com/pablosanzalmoguera

Facebook – https://www.facebook.com/pablooosanz

9 OCT | 20:00HS

METTE HENRIETTE

Jameos del Agua

15€

La collaboration entre la saxophoniste et compositrice norvégienne Mette Henriette, le pianiste Johan Lindvall et la violoncelliste australienne Judith Hamann donne naissance à une musique de chambre contemporaine qui défie les étiquettes et évolue entre le jazz d’avant-garde, l’improvisation libre et la musique classique moderne. Leur approche est profondément introspective et texturale, avec une attention méticuleuse au silence et à l’espace.

Ensemble, ce trio crée une sonorité particulière où le saxophone d’Henriette chante souvent des mélodies mélancoliques et suspendues sur l’accompagnement méditatif du piano de Lindvall et les résonances complexes du violoncelle de Hamann. Sa musique est une invitation à une écoute profonde, révélant des motifs subtils et des surprises dans un flux constant de tons et de textures, souvent avec une qualité presque cinématographique. C’est une exploration de l’intimité musicale, où chaque note et chaque silence ont un poids important.

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Mette Henriette est une compositrice, saxophoniste improvisatrice et chef d’orchestre sami-norvégienne qui travaille dans diverses disciplines créatives. Attirée par l’inconnu, ses premières années ont été forgées par diverses expériences, depuis ses études à l’Académie norvégienne de musique et à la School for Improvisational Music de New York, jusqu’à ses voyages musicaux au Tadjikistan et en Afrique de l’Ouest.

Son premier disque chez ECM Records, Mette Henriette (2015), est un double album de musique originale pour trio et grand ensemble, produit par Manfred Eicher. L’album a reçu un accueil international et The Guardian l’a décrite comme « une étoile montante de la musique contemporaine ». Son deuxième album, Drifting (2023), a été nommé meilleur album de l’année par DownBeat.

En tournée internationale depuis plus de dix ans, Mette Henriette s’est produite dans des lieux tels que Barbican Hall, Berliner Festspiele, Dark Mofo, documenta14, Flagey, Moldejazz, Musée d’Orsay, Opéra d’Oslo, Ultima International Contemporary Festival, Rewire, Riddu Riddu et l’Atlanta Jazz Festival. Elle crée elle-même les éclairages et les décors de ses performances live, sculptant une dramaturgie spatiale et visuelle en dialogue avec sa musique.

Son cycle orchestral Overture I-III (2020) a été commandé par l’Orchestre philharmonique d’Oslo et créé sous la direction de Klaus Mäkelä. Chacune des trois œuvres peut être jouée individuellement ou faire partie du cycle complet. Elles ont depuis été interprétées par le Hallé au Bridgewater Hall et par l’orchestre symphonique de l’Académie norvégienne de musique. Il a également composé une œuvre pour orchestre à cordes pour l’Arctic Philharmonic, dont la première a eu lieu dans une mine de charbon au Svalbard, ainsi que des pièces de chambre et des pièces pour soliste pour Cikada et le violoniste Eldbjørg Hemsing.

Mette Henriette a collaboré avec des artistes de renom tels que Marina Abramović et Nicolas Jaar, et en 2023, elle a été mentor de la résidence du Montreux Jazz Festival.

Mette Henriette – sax / saxophone

Judith Hamann – violoncelle

Johan Lindvall – piano

Audio – https://open.spotify.com/intl-es/artist/mettehenriette

Site web – mettehenriette.com

IG – instagram.com/mettehenriette (@mettehenriette)

Facebook – facebook.com/mettehenriette (@mettehenriette)

YouTube – youtube.com/mettehenriette

10 OCT | 20:00HS

BUGGE WESSELTOFT, ARILD ANDERSEN, SANSKRITI SHRESTHA

Jameos del Agua

20€

Ce sera une soirée unique de jazz expérimental avec un trio de virtuoses redéfinissant les limites du genre. L’incomparable Bugge Wesseltoft est rejoint par le légendaire contrebassiste Arild Andersen et le percussionniste novateur Sanskriti Shrestha pour présenter un répertoire qui fusionne l’établi et l’inattendu.

Lorsque ces trois musiciens se réunissent, il en résulte une expérience sonore riche et diversifiée. L’esprit novateur de Wesseltoft aux claviers, la solidité et la profondeur de la contrebasse d’Andersen et les percussions rythmiques et texturées des tablas de Shrestha s’entremêlent pour créer un dialogue musical où les frontières entre le jazz acoustique, l’électronique, les improvisations et les influences de la musique du monde s’estompent.

Ce concert est non seulement l’occasion d’entendre les compositions originales du trio tirées du dernier album de Wesseltoft, « AM ARE », mais aussi de revisiter les standards de Bugge Wesseltoft et d’explorer les propres compositions de chacun de ces extraordinaires musiciens.

Cette collaboration promet une soirée où l’improvisation, la mélodie et la tradition rencontrent l’avant-garde, dans un format trio inhabituel qui promet de surprendre et d’émouvoir.

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Bugge Wesseltoft est un pianiste, claviériste, compositeur et producteur norvégien influent, reconnu dans le monde entier comme une figure clé de l’évolution du jazz contemporain et de la création du son « nu jazz » ou « future jazz » à partir du milieu des années 1990. Wesseltoft reste une force créatrice active, constamment à la recherche de nouvelles formes d’expression musicale et redéfinissant ce que le jazz signifie au XXIe siècle.

Arild Andersen est sans aucun doute l’un des contrebassistes de jazz les plus influents et les plus respectés d’Europe depuis le début des années 1970. Sa carrière, qui s’étend sur plus de cinq décennies, a fait de lui un pilier de la scène internationale du jazz. Récompensé par de nombreux prix et distinctions, Andersen reste une figure essentielle du jazz, faisant preuve d’une créativité inépuisable, d’un groove contagieux et d’un lien profond avec la tradition et l’avant-garde.

Sanskriti Shrestha est une joueuse de tabla et compositrice innovante d’origine népalaise. Sa carrière musicale se distingue par sa capacité à fusionner les riches traditions percussives de l’Inde et du Népal avec les sonorités du jazz, de la musique électronique et de l’improvisation contemporaine. Percussionniste virtuose, elle est aussi une compositrice imaginative qui cherche constamment à jeter des ponts entre l’ancien et le nouveau, l’occidental et l’oriental, le composé et l’improvisé, faisant du tabla un instrument clé de la scène musicale contemporaine.

Bugge Wesseltoft – piano et touches / piano et touches

Arild Andersen – contrebasse / contrebasse

Sanskriti Shrestha – planches/tablettes

Ildefonso Aguilar – effets visuels / effets visuels

Audio – https://open.spotify.com/intl-es/artist/buggewesseltoft

Site web – https://www.buggewesseltoft.com/

IG – https://www.instagram.com/buggewesseltoft/?hl=es

YouTube – https://www.youtube.com/@buggew

11 OCT | 20:00HS

ALIZULH

Salle Buñuel | CIC El Almacén

5€

ALIZULH est un projet de recherche sonore et de musique électronique de Gran Canaria, en Espagne. Le duo est formé par Héctor Matacherry (aka Anhelo) et Santi Pérez (aka Svesda).

Alizulh signifie joie et c’est ainsi que les Phéniciens ont baptisé les îles Canaries à leur arrivée. Il se caractérise par l’exploration de sonorités électroniques et électroacoustiques, en les fusionnant avec des éléments organiques et quotidiens. Ils incorporent des sons de la vie quotidienne et de leur environnement immédiat, créant ainsi des paysages sonores éthérés et souvent évocateurs. Ils utilisent des synthétiseurs et des enregistrements de terrain comme composants principaux, cherchant à transmettre des émotions et des récits à travers l’atmosphère musicale.

Né à l’été 2022, ALIZULH a déjà présenté sa proposition dans divers espaces culturels de Gran Canaria et a sorti des singles tels que « In Your Arms » et « El Viento en su Boca », ce dernier en collaboration avec l’artiste multidisciplinaire Madkatala. Ils ont publié un premier album sous le label Lambada Records.

Héctor Matacherry – piano et synthétiseurs / piano y sintetizadores / piano and synthesizers

Santi Pérez – voix, guitare et synthétiseurs / voix, guitare et synthétiseurs

Ildefonso Aguilar – effets visuels

Vidéo : Dans vos bras – https://www.youtube.com/watch?v=OFzO6DLxQHY

Audio – https://open.spotify.com/intl-es/artist/Alizulh

IG – https://www.instagram.com/alizulh_/

15 OCT | 20:00HS

LES DERNIERS ET LES PREMIERS HOMMES

Salle Buñuel | CIC El Almacén

3.00€

« The Last and First Men » est un film posthume unique du célèbre compositeur islandais Jóhann Jóhannsson, dont nous avons eu la chance d’assister à l’un de ses derniers concerts en direct lors de l’édition 2017 de ce festival.

Connu pour son approche plus proche de l’installation artistique audiovisuelle ou de l’essai cinématographique que du récit traditionnel, ce film est sorti en 2020, deux ans après sa mort, et constitue son seul long métrage en tant que réalisateur.

Librement inspiré du roman de science-fiction du même nom écrit par Olaf Stapledon (1930), le film est une profonde méditation sur l’évolution, la décadence et le destin ultime de l’humanité, deux milliards d’années dans le futur. La prémisse centrale est un message que la dernière civilisation humaine, au bord de l’extinction dans un futur lointain, envoie à l’humanité du présent.

« The Last and First Men est une œuvre qui se prête à une écoute et à une contemplation profondes. Elle est dépourvue de dialogue, d’intrigue linéaire ou de présence physique d’acteurs humains. Au contraire, elle invite le spectateur à une expérience sensorielle et philosophique sur le temps, la mémoire, l’extinction et la beauté dans la ruine. C’est un témoignage émouvant de la vision artistique de Jóhann Jóhannsson et l’une des œuvres les plus originales et les plus audacieuses de la science-fiction récente.

Bande-annonce

16 OCT | 20:00HS

SHIDA SHAHABI

Jameos del Agua

15€

L’artiste suédo-iranienne Shida Shahabi se produit en concert pour révéler l’atmosphère immersive de son dernier album acclamé, « Living Circle ». Connue pour sa capacité à créer des paysages sonores qui touchent l’âme, Shahabi transcende les étiquettes avec une musique qui se situe quelque part entre le néoclassique, l’ambiant et l’électronique expérimentale.

« Living Circle » marque une évolution dans le son de Shahabi, qui fait passer l’intimité de son premier album « Homes » à un domaine orchestral plus expansif. Ses compositions, souvent nées de l’improvisation, se déploient lentement, révélant des couches de textures profondes, des bourdons éthérés et la présence mélodieuse d’instruments tels que le piano (son instrument principal), le violoncelle, la contrebasse et, à l’occasion, des chœurs célestes.

En direct, la musique de Shida Shahabi se transforme en une expérience immersive. Il ne s’agit pas d’un concert pour le bruit, mais pour l’écoute profonde et la contemplation. Ses pièces, de longue durée, invitent le public à se laisser porter par les marées sonores, à s’immerger dans des atmosphères qui peuvent être mélancoliques, pleines d’espoir ou d’une beauté désolante. C’est une occasion unique de découvrir la subtilité et la force émotionnelle de l’une des voix les plus singulières de la musique contemporaine, au cours d’une soirée où chaque note et chaque silence ont une raison d’être et un impact profond.

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Shida Shahabi, née en 1989, s’est intéressée très tôt à la musique, qu’elle a complétée par des études d’art à l’Institut royal des arts de Stockholm à partir de 2009. Après avoir obtenu son diplôme, elle a travaillé comme musicienne indépendante et a commencé à composer pour la danse, le cinéma, le théâtre et l’art.

Son premier album, « Homes » (2018), acclamé par la critique, a été suivi de l’EP « Shifts » et de diverses collaborations, dont une réinterprétation de Beethoven. Il a également composé des bandes originales pour des courts-métrages tels que « Lake on Fire » (2020) et « Alvaret » (2021), ainsi que pour les longs-métrages « Lovely, Dark and Deep » (2023) et le film primé « Falcon Lake » (2022).

En 2023, il sort son deuxième album, « Living Circle », qui combine des éléments classiques et électroniques pour créer des compositions atmosphériques. La même année, il compose la musique de la pièce de danse « Sylph » de Halla Olafsdóttir. Shahabi a également participé à de grands événements en direct, tels que le festival Reflektor de Max Richter et Yulia Mahr.

Shida Shahabi – piano, effets et touches / piano, effets et touches

Linnea Olsson – violoncelle / violoncelle

Hampus Norén – électronique et clavier / électronique et clavier

Ildefonso Aguilar – effets visuels / effets visuels

Vidéo : Violet profond de Glod – https://www.youtube.com/watch?v=OQqPGSzisvQ

Audio – https://open.spotify.com/intl-es/shidashahabi

Site web – https://shidashahabi.com/

YouTube – https://www.youtube.com/channel/UCOoMtW2JTcNybWDu0fyVggg

17 OCT | 20:00HS

LAJALADA

Grotte des Verts

10€

LAJALADA est le projet solo de la chanteuse et compositrice Belén A. Doreste. Né comme une évolution naturelle après son passage au sein de Bel Bee Bee, le projet se fraie un chemin entre la musique électronique et la chanson la plus intime. Aujourd’hui, LAJALADA entre dans une phase où il unit la création acoustique et artisanale avec les développements, les traitements et les sonorités du monde électronique dans une conception purement paysagère.

Dans cette nouvelle étape, LAJALADA se présente en solo, intégrant guitare, pads, boucles, percussions acoustiques et électroniques et voix comme ligne narrative. La proposition se concentre sur la musique en tant que paysage sonore et noyau expressif, jamais à la merci d’une forme spécifique, enrichie par des textures électroniques qui amplifient sa portée sans perdre son essence intime.

Un concert de Lajalada est une invitation à un voyage sonore où la tradition et l’avant-garde se rencontrent, offrant une vision unique et contemporaine des racines musicales des îles Canaries à travers une lentille électronique et expérimentale.

Belén A. Doreste – efectos. guitarra, teclado y visuales / effects, guitarra, keys and visuals

Vidéo : Princesse pèlerine – https://www.youtube.com/watch?v=eGzpDnPm1rQ

Audio – https://open.spotify.com/intl-es/artist/lajalada

IG – instagram.com/lajaladamusic (@lajaladamusic)

Facebook – facebook.com/lajaladamusic/ (@lajaladamusic)

YouTube – youtube.com/@lajalada

18 OCT | 20:00HS

KEELEY FORSYTH

« Tour de chant et de piano

Jameos del Agua

15€

La chanteuse acclamée Keeley Forsyth présente un spectacle unique et intime, accompagnée au piano par Matthew Bourne.

Avec plusieurs albums acclamés par la critique à son actif, Forsyth s’est imposée comme une artiste exceptionnelle et recherchée, connue pour l’émotion brute de ses capacités vocales uniques et sa présence saisissante sur scène.

Ce concert promet d’être une expérience d’écoute profondément émouvante, immersive et authentique. La collaboration entre Forsyth et Bourne réunit la voix unique et évocatrice de la chanteuse et actrice britannique et la virtuosité expérimentale du pianiste et compositeur, forgeant une alliance musicale décrite comme « dépouillée, honnête et audacieuse ». Leur travail commun, comme en témoigne leur récent EP « Hand To Mouth », se concentre sur une instrumentation minimaliste pour un impact émotionnel maximal. Les compositions sont austères mais pleines d’intentions, créant une atmosphère gothique, néoclassique et, parfois, presque médiévale.

Un concert de Keeley Forsyth et Matthew Bourne est une invitation à vous immerger dans un univers sonore où la voix humaine rencontre la profondeur du piano, générant une expérience intime qui explore les limites de l’émotion et de l’expression artistique. C’est l’occasion d’assister à l’alchimie unique entre deux musiciens intuitifs et synchronisés, capables de communiquer des vérités sincères et vitales avec une étonnante économie de moyens.

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Keeley Forsyth, chanteuse, compositrice et actrice originaire d’Oldham, au Royaume-Uni, s’est forgé une carrière unique dans le domaine de la musique contemporaine, remarquée pour l’émotionnalité brute de sa voix unique et son physique saisissant sur scène. Sa musique, qui oscille entre le classique contemporain, le folk et la musique sacrée, explore des thèmes profonds et sombres, à la recherche de vérités cachées. Keeley Forsyth a collaboré avec des artistes tels que Ben Frost et Yann Tiersen, a composé des bandes originales et prépare actuellement un opéra. Elle conserve également son rôle d’actrice, apparaissant dans des films récents tels que Club Zero (2023) et le film primé Poor Things (2023).

Matthew Bourne est un pianiste et compositeur britannique acclamé pour son approche inventive et expérimentale, qui lui a valu de nombreuses récompenses. Il est connu pour avoir récupéré des pianos endommagés dans des projets tels que Harpsichords (2024), et pour ses collaborations avec le London Sinfonietta et ses réinterprétations de l’œuvre d’Amon Tobin. Sa discographie comprend des albums pour piano solo tels que Montauk Variations et Isotach, ainsi que des projets électroniques tels que Radioland (une réinterprétation de Kraftwerk) et l’album de synthétiseurs moogmemory.

Keely Forsyth – voix

Matthew Bourne – piano / piano

Ildefonso Aguilar – effets visuels / effets visuels

Vidéo : Cheval – https://www.youtube.com/Kelly Forsyth – Cheval

Vidéo : Tournage LIVE – https://www.youtube.com/Kelly Forsyth – Turning LIVE

Audio – https://open.spotify.com/Keely Forsyth

Keeley Forsyth

Site web – https://www.keeleyforsyth.com/

IG – https://www.instagram.com/keeley_forsyth

Facebook – https://www.facebook.com/KeeleyForsyth

YouTube – https://www.youtube.com/@keeleyforsythoPicial

Matthew Bourne

Site web – https://www.matthewbourne.com

IG – https://www.instagram.com/mortbutane/#

Facebook – https://www.facebook.com/mortbutane